Structures 3D

 

Le développement de liens, de structures administratives et d’espaces multi-formats (institutionnels, universitaires, privés, associatifs, coopératifs, etc.) reliés par la pratique de la méthode 3D (les RCE et la logique P6) : Pour la mutualisation des efforts gouvernatiques, des définitions de nos problématiques, potentialités et propositions. Pour un développement naturellement, humainement et écologiquement conscient, cohérent, vivant et noétique. Pratiquement il s’agit de structures sous des formats pleinement adaptables aux spécificités et équilibres locaux, pour mieux les conscientiser et les vivre à cette échelle, mais aussi pouvoir garantir leur reconnaissance et protection, sur le plan des décisions globales, ces dernières affectant de plus en plus chaque localité. C’est le rôle des ABL (AB Locales) et de l’ABI (AB Internationale) que de répondre à l’enjeu du fameux « penser global pour agir local » (et vice versa, bien entendu) : de permettre “l’équitabilisation” gouvernatique continue ; de permettre à chacun, de plus en plus consciemment, de participer à chaque niveau de gestion des paramètres, déterminant politiquement et noétiquement son existence:

Les ABL sont les outils locaux de RCE, typiquement des associations aux statuts et fonctionnement en démocratisation continue, qui permettent de faire vivre et interagir des projets particuliers. Elles sont gérées et liées par l’aménagement de corps de développement gouvernatiques, pour l’amélioration continue de leur pertinence locale et de leur contributivité (qualité de leurs échanges) globale.

L’ABI est l’organe qui permet une démocratisation internationale de nos choix de développement aux conséquences globales: la prise en compte équitable des volontés de chacun, à chaque niveau de gouvernance, et la rencontre interculturelle de nos travaux locaux; la mutualisation des RCE des ABL : sa démocratisation propre et de la gestion du patrimoine commun, issue de la rationalisation collective du meilleur de l’ensemble des propositions P6, au travers de ses cycles RCE. Ces structures sont les espaces, pratiques, administratifs et numériques, dédiés aux RCE: aux recherches, communications et expérimentations concrètes, à la recherche et au développement de meilleures qualités d’organisation collective.

Le reste de la trousse à outils gouvernatique: les atouts pratiques, aux potentialités structurées, optimisées et mutualisées, par la méthode 3D, les ABL et l’ABI.

Le label HQSE (à Haute qualité sociale et environnementale) a pour but de définir ensemble les meilleurs procédés (savoir-faire) et ainsi de pouvoir optimiser l’impact des partenariats, comme l’aménagement et le fonctionnement des SCIC* HQES  (*Sociétés Coopératives d’Intérêt Général – un format qui semble pertinent, mais peu importe leur appellation, ce qui compte c’est la démocratisation de la définition de leurs statuts et des outils de leur gestion et de leur transparence, de l’étude et de la programmation de leurs impacts sur nos vies). Il s’agit de développer l’étude collective (transversale, interculturelle) des conséquences des différentes activités et des moyens les plus propices à la pleine définition et au développement de la qualité de vie. Ce label comprend différents paramètres complémentaires, et permet l’indépendance des labos, des analyses, des observatoires, … la démocratisation d’outils de gestion transparente,  d’un guide noétique proactif : un référencement, une hiérarchisation et une mise en synergie des modes d’activités et de consommation, les moins destructeurs (lowentropiques), les plus intelligents, soit les plus conscientogènes possibles. Notre « que choisir et comment faire, pour s’en régaler vraiment », favorisant la promotion et le développement cohérent des fruits de nos recherches et expérimentations, la prise de conscience collective de leurs enjeux …

Les SCIC HQSE sont les organes de concrétisation des bonnes pratiques socio-économiques (de gestion, de production, de consommation, de développement) retenues par les recherches de définition de la HQSE (en somme, des RCE, par la P6 bien sûr). Il peut s’agir, par exemple, de Sociétés Coopératives à Intérêt Collectif, un modèle qui dépend de son objet et de ses statuts, ou d’entreprises de formats divers, le label et les SCIC constituant un pont méthodologique vers des pratiques en amélioration continue. Le pôle RCE « méthode 3D » a précisément pour rôle de pouvoir définir démocratiquement les bonnes pratiques, soit les bons objets, statuts, outils méthodologiques et technologiques, de transparence et d’interaction, de cohérence contributive, de contrôle démocratique, de certification* …, en fonction des recherches citoyennes, pour un label-guide HQSE. Cette étude collective, transdisciplinaire, permet de se donner les moyens de se développer en cohérence intellectuelle, spirituelle, et pratique ; économique, au sens large.
(*Telle que la blockchain , qui permet la concrétisation de nouveaux modes organisationnels, la traçabilité et l’anonymat des données, la rénovation démocratique de la quatrième révolution de l’information.)

 

 

Le SFH et Myteam : Le SFH est l’encyclopédie multimédia des Savoir-Faire de l’Humanité, traditionnels et innovants, du développement durable. Couplé au recherches du Label HQSE, défini au travers des mutualisations des travaux des ABL, il apporte des outils de perception de ce que l’on peut nommer « développement durable », un référencement contributif démocratisé, pluriontologique, des savoirs, du patrimoine humain. Le SFH est l’organisation de la pierre triangulaire philosophale ; de métanoétisation et de transmission des savoir-faire ; des savoir-vivre, des arts d’être au monde.
Myteam est d’abord une application dédiée aux échanges et à l’organisation collective, à la coordination directe, à différentes échelles de productions communes (techniques, artisanales, etc. favorisant l’échange de service, la diffusion et la concrétisation de propositions d’activités collectives, de recherche, de conception, de réalisation,… ; l’organisation d’évènements culturels, de rencontres sportives, etc.). Cette application  permet d’étudier la mise en pratique des différents modèles d’échanges, d’économies, recensés dans le SFH et le guide HQSE, en s’appuyant éventuellement sur les structures 3D, ABL, SCIC 3D, à même d’être pertinentes pour le montage et la concrétisation des projets.

SENSHART et le Théâtre Lumière : Partant du principe que la créativité, l’inspiration, sont conditions essentielles d’un changement de paradigme, ces deux outils s’y consacrent pleinement. Ils sont à la recherche des conditions de créativité sociétale, d’expression citoyenne des problématiques, potentialités et alternatives potentielles – des arts de vivre. Senshart est une coopérative d’optimisation du potentiel artistique, et le Théatre Lumière est un projet d’événement culturel cyclique, de festivals intercitoyens, itinérants, autogérés, permettant à chacun, par contributivité et transmission des savoirs, au travers de l’écriture et de la réalisation collective des « contes lumières », de contribuer librement, notamment ludiquement, à l’expression populaire des besoins et des idées … Et ainsi d’apprendre maïeutiquement, en se faisant plaisir, à potentialiser ses capacités de gestion de ses scénarios de vie, son pouvoir démocratique. En injectant encore, plus consciemment et quantiquement, de l’art dans nos vies, de l’humanité dans nos sociétés et nos êtres. Car c’est bien l’art qui fait l’Homme, le définit anthropologiquement (-entropiquement), comme un génie de l’adaptabilité, par l’amovibilité de son attention, sa capacité de se rendre disponible au génie cosmique, à véhiculer sa conscience quantonoétiquement (ce qui est bien pratique dans l’absolu : le sens du bon sens, de l’artistique noétique, le fil de l’intuition philosophale, du conscientogène…)

L’Unitic : Le développement d’échanges contributifs RCE interuniversitaires, et d’universités aux méthodologies d’apprentissage alternatives aux dynamiques de « développement » non durable, adaptées aux NTIC, de trans-méta-définition des enjeux nouveaux, capables d’optimiser les TIC, qui définissent maintenant radicalement le sens de nos existences, individuellement, socio-culturellement et anthropologiquement.
C’est un outil d’apprentissage collectif, cohérent, au service de l’Homme par l’Homme, utilisant pleinement tous les savoir-faire, traditionnels et innovants, pour optimiser contributivement, de manière intergénérationelle et interculturelle, le transfert des connaissances et des compétences. Qui permet à l’Homme de pratiquer les compétences qu’il veut vraiment développer, noétiquement, tout en inscrivant son effort, son travail théorique et pratique dans la construction concrète du monde dans lequel il veut vivre, par sa participation aux recherches et au développement des projets démocratiquement fédérateurs, et à la perception générale des liens généraux.
Articulés sur le protocole RCE et la capitalisation des thèses P6, les exercices, ou pratiques d’apprentissage, sont basés directement sur les besoins, autodéterminés, de nos qualités de vie, en renforçant nos capacités de définition propre du sens des choses et de leurs développements : Apprendre à changer de paradigme et à choisir. Ceci en lieu et place de l’actuelle hyperhiérarchisation sociale et métagestionnaire qui favorise les méthodes, les causes et les conséquences du « non durable », et qui nous prolétarise, conditionnant chacun à être compétitif et « performant » avec la conséquence absurde de tout ruiner, de se spécialiser jusqu’au néant. D’où la perte d’une force immense, créatrice, vivante et brillante : la nôtre.

3D explorer, 3D School, Ethic-Trade, Senscity …, sont des exemples d’extensions naturelles aux secteurs majeurs de nos activités, qui étudient les meilleurs moyens de voyager, d’apprendre, d’échanger et de commercer, en favorisant l’enrichissement collectif et celui du patrimoine commun, la diversité culturelle et écologique.